martedì 8 aprile 2014

A - DIM. DES RAMEAUX


1 commento:

  1. Pour trois fois en chaque Messe nous disons: - Voilà l'Agneau de Dieu quI enlève les péchés du monde - sans penser au prix de cet enlever.
    Celui qui aime prend sur soi et épargne.l'autre...et celui-ci est le fait qui succède dans la Passion et Mort de Jésus.
    Jésus prend sur soi la trahison de Judas et toutes les trahisons, la présomption et l'orgueil de Pierre,le sommeil des amis, notre sommeil intérieur, le baiser de Judas et tous les baisers faux, d'intérêt.
    Il prend sur soi chaque forme de violence, l'abandon des amis, tous les abandons.Il prend sur soi tous les témoignages faux, les mots pas vrais, le reniement de Pierre, le se laver les mains devant à chaque nécessité, l'attitude de la foule qui suit la mode et pas la vérité, les tortures et la raillerie du monde.
    Voilà l'enfer que Jésus apporte sur lui-même, ce qui le rend méconnaissable. "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné?" . C'est le cri de ceux qui ont donné tout s'enfonçant dans l'obscurité profonde de la foi; même dans nos ténèbres entre Jésus en les prenant sur soi-même.
    Et pourtant, dans cette obscurité on connaît déjà des lumières: Judas demande pardon, Pierre pleure, les femmes suivent Jésus, le centurion reconnaît le Fils de Dieu, Joseph d'Arimathie a demandé son corps .... lumières qui viennent à resplendir dans la lumière immense de la Résurrection.
    Et l'histoire de sa Passion puisse devenir un peu plus la nôtre

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