giovedì 26 ottobre 2023

A - 30 DIMANCHE T.O.


 

5 commenti:

  1. Livre de l'Exode
    22,20-26.
    Tu n’exploiteras pas l’immigré, tu ne l’opprimeras pas, car vous étiez vous-mêmes des immigrés au pays d’Égypte.
    Vous n’accablerez pas la veuve et l’orphelin.
    Si tu les accables et qu’ils crient vers moi, j’écouterai leur cri.
    Ma colère s’enflammera et je vous ferai périr par l’épée : vos femmes deviendront veuves, et vos fils, orphelins.
    Si tu prêtes de l’argent à quelqu’un de mon peuple, à un pauvre parmi tes frères, tu n’agiras pas envers lui comme un usurier : tu ne lui imposeras pas d’intérêts.
    Si tu prends en gage le manteau de ton prochain, tu le lui rendras avant le coucher du soleil.
    C’est tout ce qu’il a pour se couvrir ; c’est le manteau dont il s’enveloppe, la seule couverture qu’il ait pour dormir. S’il crie vers moi, je l’écouterai, car moi, je suis compatissant !

    Psaume 18(17)

    Je t'aime, Seigneur, ma force :
    Seigneur, mon roc, ma forteresse,
    Dieu mon libérateur, le rocher qui m'abrite,
    mon bouclier, mon fort, mon arme de victoire !

    Louange à Dieu !
    Quand je fais appel au Seigneur,
    je suis sauvé de tous mes ennemis.
    Et lui m'a dégagé, mis au large, il m'a libéré, car il m'aime.

    Vive le Seigneur ! Béni soit mon Rocher !
    Qu'il triomphe, le Dieu de ma victoire !
    Il donne à son roi de grandes victoires,
    il se montre fidèle à son Messie.

    Première lettre de saint Paul Apôtre
    aux Thessaloniciens 1,5c-10.
    En effet, notre annonce de l’Évangile n’a pas été, chez vous, simple parole, mais puissance, action de l’Esprit Saint, pleine certitude : vous savez comment nous nous sommes comportés chez vous pour votre bien.
    Et vous-mêmes, en fait, vous nous avez imités, nous et le Seigneur, en accueillant la Parole au milieu de bien des épreuves, avec la joie de l’Esprit Saint.
    Ainsi vous êtes devenus un modèle pour tous les croyants de Macédoine et de Grèce.
    Et ce n’est pas seulement en Macédoine et en Grèce qu’à partir de chez vous la parole du Seigneur a retenti, mais la nouvelle de votre foi en Dieu s’est si bien répandue partout que nous n’avons pas besoin d’en parler.
    En effet, les gens racontent, à notre sujet, l’accueil que nous avons reçu chez vous ; ils disent comment vous vous êtes convertis à Dieu en vous détournant des idoles, afin de servir le Dieu vivant et véritable,
    et afin d’attendre des cieux son Fils qu’il a ressuscité d’entre les morts, Jésus, qui nous délivre de la colère qui vient.

    Évangile de Jésus-Christ
    selon saint Matthieu 22,34-40.
    En ce temps-là, les pharisiens, apprenant qu’il avait fermé la bouche aux sadducéens, se réunirent,
    et l’un d’entre eux, un docteur de la Loi, posa une question à Jésus pour le mettre à l’épreuve :
    « Maître, dans la Loi, quel est le grand commandement ? »
    Jésus lui répondit : « ‘Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit.’
    Voilà le grand, le premier commandement.
    Et le second lui est semblable : ‘Tu aimeras ton prochain comme toi-même.’
    De ces deux commandements dépend toute la Loi, ainsi que les Prophètes. »

    RispondiElimina
    Risposte
    1. PAPE FRANÇOIS

      ANGÉLUS 25 octobre 2020
      Chers frères et sœurs, bonjour !Dans la page évangélique d’aujourd’hui ( Mt 22, 34-40), un docteur de la Loi demande à Jésus quel est «le grand commandement» (v. 36), c’est-à-dire le commandement principal de toute la Loi divine. Jésus répond simplement: «Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit» (v. 37). Et il ajoute immédiatement: «Et le second lui est semblable: “Tu aimeras ton prochain comme toi-même”» (v. 39).

      La réponse de Jésus reprend et unit deux préceptes fondamentaux, que Dieu a donnés à son peuple par l’intermédiaire de Moïse ( Dt 6, 5; Lv 19, 18). Et ainsi il évite le piège qui lui a été tendu «pour le mettre à l’épreuve» (v. 35). Son interlocuteur, en effet, cherche à l’entraîner dans la dispute sur la hiérarchie des prescriptions, entre les experts de la Loi. Mais Jésus établit deux pivots essentiels pour les croyants de tous les temps, deux pivots essentiels de notre vie. Le premier est que la vie morale et religieuse ne peut pas se réduire à une obéissance anxieuse et forcée. Il y a des gens qui cherchent à appliquer les commandements de façon anxieuse et forcée, et Jésus nous fait comprendre que la vie morale et religieuse ne peut pas se réduire à une obéissance anxieuse et forcée, mais doit avoir l’amour comme principe. Le second pivot est que l’amour doit tendre à la fois et de manière inséparable vers Dieu et vers son prochain. C’est l’une des principales nouveautés de l’enseignement de Jésus et cela nous fait comprendre que l’amour qui ne s’exprime pas dans l’amour pour son prochain n’est pas un vrai amour pour Dieu; et, dans le même temps, que celui qui ne puise pas à la relation avec Dieu n’est pas un vrai amour pour son prochain.

      Jésus conclut sa réponse par ces mots: «De ces deux commandements dépend toute la Loi, ainsi que les Prophètes» (v. 40). Cela signifie que tous les préceptes que le Seigneur a donnés à son peuple doivent être mis en relation avec l’amour de Dieu et du prochain. En effet, tous les commandements servent à réaliser et à exprimer ce double amour invisible. L’amour pour Dieu s’exprime surtout dans la prière, en particulier dans l’adoration. Nous négligeons beaucoup l’adoration de Dieu. Nous faisons la prière d’action de grâce, la supplication pour demander quelque chose… mais nous négligeons l’adoration. Le noyau de la prière est précisément adorer Dieu. Et l’amour pour le prochain, qui s’appelle également charité fraternelle, est fait de proximité, d’écoute, de partage, de soin de l’autre. Très souvent nous omettons d’écouter l’autre parce qu’il est ennuyeux ou parce qu’il me prend du temps, ou de le soutenir, de l’accompagner dans ses souffrances, dans ses épreuves… Mais nous trouvons toujours le temps de faire des commérages, toujours! Nous n’avons pas de temps pour consoler les affligés, mais beaucoup de temps pour médire. Attention! L’apôtre Jean écrit: «Celui qui n’aime pas son frère, qu’il voit, est incapable d’aimer Dieu, qu’il ne voit pas» (1 Jn 4, 20). Ainsi l’on voit l’unité de ces deux commandements.


      Elimina
    2. -->Dans l’Evangile d’aujourd’hui, Jésus nous aide encore une fois à aller à la source vive et jaillissante de l’amour. Et cette source c’est Dieu lui-même, qu’il faut aimer totalement dans une communion que rien ni personne ne peut briser. Un communion qui est un don à invoquer tous les jours, mais également un engagement personnel pour que notre vie ne devienne pas esclave des idoles du monde. Et notre chemin de conversion et de sainteté trouve toujours sa preuve dans l’amour pour notre prochain. Voilà quelle est la preuve: si je dit «J’aime Dieu» et que je n’aime pas mon prochain, cela ne va pas. La preuve que j’aime Dieu c’est que j’aime mon prochain. Tant qu’il y aura un frère ou une sœur à qui nous fermons notre cœur, nous serons loin d’être des disciples comme Jésus nous le demande. Mais sa miséricorde divine ne nous permet pas de nous décourager; au contraire, elle nous appelle à recommencer chaque jour, pour vivre l’Evangile de façon cohérente.
      Que l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie ouvre notre cœur pour accueillir le «grand commandement», le double commandement de l’amour, qui résume toute la Loi de Dieu, et duquel dépend notre salut.

      Elimina
  2. FAUSTI - "Tu aimeras" Dieu est Amour, et Il nous commande d'aimer. Co-mandre signifie envoyer ensemble : Dieu nous en
    voie ensemble vers l'amour, afin que Sa Vie devienne aussi la nôtre. L'amour, en effet, fait que la vie de l'un devient la vie de l'autre.
    Le désir d'être comme Dieu ne se réalise pas en ayant tout entre les mains, mais en se mettant dans les mains du Père et de ses frères et sœurs, par amour ! Dans l'amour, il n'y a pas de bien et de mal, il n'y a que du Bien ! On ne peut pas saisir Dieu avec l'esprit ou les mains, mais "comprendre, contenir" dans le cœur. Aimer, c'est avoir l'autre dans son cœur. Nous sommes faits pour aimer, parce que Dieu nous a créés à son image et à sa ressemblance. Savoir, c'est aimer : on n'aime que ce que l'on connaît. Et aimer à son tour sert à comprendre : on ne comprend rien, sauf ce que l'on aime. L'amour et l'intellect se nourrissent mutuellement : c'est la tension dynamique propre à l'amour, dans un cercle vertueux sans fin.
    L'amour ne concerne pas seulement le cœur et l'esprit, mais aussi la vie. L'amour est avant tout une joie du cœur
    pour le bien de l'autre (le contraire est l'envie) : elle s'exprime avec la bouche comme une louange (le contraire est la critique), et se réalise avec les mains, mises au service de l'autre comme de moi-même. Elle se manifeste plus dans les actes que dans les mots. Aimons-nous les uns les autres non pas en paroles, mais en actes et en vérité (1Jn 3:18).
    L'amour conduit à communiquer ce que l'on a et ce que l'on est, jusqu'à l'union de l'intellect, de la volonté et de l'action.
    La diversité et les limites - même négatives - ne sont pas un lieu de dissimulation et d'agression, perpétrée ou subie, mais d'acceptation et de service mutuel.
    Le commandement est double : aimer Dieu et le prochain, car ce n'est qu'en aimant le Père et nos frères et sœurs que nous devenons ce que nous sommes : des enfants. Nous atteignons ainsi notre identité, en guérissant la rupture originelle avec l'Autre, avec nous-mêmes et avec les autres.
    Jésus est le Seigneur qui se fait mon prochain et m'aime de tout son cœur, afin que je puisse faire de même. Avec le même amour, je l'aime et j'aime mon frère, parce qu'il est devenu mon frère ; j'aime Dieu et l'homme parce que Dieu est devenu homme !
    Car chaque fois que j'aime le dernier de mes frères, j'aime Celui (Mt25) qui est devenu le dernier de tous.
    L'amour mutuel est l'insigne du chrétien. "A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l'amour les uns pour les autres.


    RispondiElimina
  3. Nm 6, 22-27

    Le Seigneur parla à Moïse et dit : "Parle à Aaron et à ses fils en disant : Ainsi, vous bénirez les Israélites.
    bénissez les Israélites : vous leur direz :
    Que le Seigneur vous bénisse
    et qu'il vous garde.
    Que le Seigneur fasse resplendir pour toi sa face
    et te fasse grâce.
    Que le Seigneur tourne sa face vers toi
    et t'accorde la paix.
    C'est ainsi qu'ils mettront mon nom sur les Israélites, et je les bénirai".
    Apportons cette bénédiction à chaque personne qui vit sur les terres de conflit ou qui est affectée par elles dans les décisions à prendre, dans les choix à faire pour elles, afin que leurs cœurs puissent trouver la Paix et reprendre une vie paisible avec des relations constructives de dialogue et de Paix.

    RispondiElimina

Nota. Solo i membri di questo blog possono postare un commento.